Il y a des jours où tout glisse, où les choses s’alignent toutes seules.
Et d’autres… où chaque pas pèse une tonne, où la moindre action te coûte.
💡 C’est normal.
Grandir, ça pique.
Changer, c’est inconfortable.
Tenir bon, ça fatigue.
Mais non, ça ne veut pas dire que tu échoues.
Ça veut simplement dire que tu es en train de te dépasser.
Imagine : tu te réveilles sans énergie.
Le monde paraît plus lourd, tes pensées plus bruyantes.
Tu avances quand même. Un mail, une tâche, une micro-victoire.
Ce n’est pas spectaculaire. C’est mieux que ça : c’est réel.
Respire.
Inspire profondément.
Expire ce qui t’alourdit.
Ralentis s’il le faut.
Ajuste le rythme.
Mais ne t’arrête pas.
Parce qu’au milieu de l’effort, quelque chose se construit en toi :
la patience, la solidité, ce muscle invisible qu’on appelle la confiance.
Aujourd’hui, la route brûle tes jambes.
Demain, tu seras fier/fière d’avoir tenu.
La douleur d’aujourd’hui,
c’est souvent la fierté de demain.
Tu n’as pas à être fort(e) tous les jours.
Tu n’as pas à être parfait(e).
Tu as juste à faire ce que tu peux, avec ce que tu as, là où tu es.
Un petit pas de plus.
Un choix un peu meilleur.
Un “encore une fois” quand tu pensais t’arrêter.
Regarde en arrière : combien de fois as-tu cru ne pas y arriver…
et pourtant, te voilà.
Pas parce que c’était facile,
mais parce que tu as continué.
Alors, accepte que ce soit dur parfois.
Accueille l’inconfort comme la preuve que tu bouges,
que tu apprends, que tu deviens.
Quand la voix dans ta tête te dit “stop”,
réponds-lui doucement : “juste un pas”.
Quand la fatigue dit “plus tard”,
réponds-lui : “maintenant, mais lentement”.
Respire.
Ralentis.
Ne t’arrête pas.
Un jour, tu remercieras la version de toi qui n’a pas lâché.
Tu comprendras que ces jours lourds étaient des fondations,
que ces efforts silencieux ont bâti ta force.
Tu n’as pas besoin d’être invincible.
Tu as juste besoin d’avancer.
De faire ce petit pas de plus.
Et ça, c’est déjà énorme.